24 avril
Puis de nouveaux les rizières,
les routes où le paddy sèche sur de grandes nattes, et le besoin de demander à plusieurs
reprises notre chemin pour atteindre le village des sculpteurs sur bois. Les
ateliers sont assez espacés et finalement ce qui pouvait se présenter comme un
village un peu touristique, est plutôt désert. Dans un atelier, nous faisons l’acquisition
à bon prix de quelques pièces décoratives. Nous tournons dans le dit village,
qui est sur une petite colline boisée, puis allons manger sur le bord de la
route sur les bancs en bois d’une petite roulotte. Sans vraiment savoir ce que
nous avons commandé, on grignote quelques galettes de riz soufflé et buvant une
infusion citronnées servie dans des choppes en plastiques remplies de glaçons à
ras bord, comme une promesse de maux de ventre à venir. Un bon bol de soupe au
riz et aux légumes arrive. On ne pouvait attendre mieux au niveau de la
qualité ! Le tout nous coutera 20 000 roupies, soit moins de 2 euros.
Pas de maux de ventre finalement, plutôt mal au dos, suite aux nombreux
kilomètres parcourus en moto. Le soir venu, nous profitons de véhicule pour
faire un tour d’un autre quartier assez touristique, Prariwotaran. A
l’apéritif, nous commandons une vodka, mais il n’y en a pas. Je me rabats sur
un Green Sand, sorte de Canada dry citronné, un soda qui a la particularité de
ne pas bénéficier de la mention halal, il contient 0,5 gr d’alcool.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire